BLAGUEPOEME Aux cabinets Malgré l'humour et la vertu Il faut ici montrer son cul Malgré la haine et la fierté Il faut ici se défroquer
Il fait beau et chaud Ă MontrĂ©al et câest la saison des festivals. On a le goĂ»t de sâamuser plutĂŽt que de faire attention Ă sa santĂ©. Un petit coup de soleil par ci, deux biĂšres de trop par lĂ , dâĂ©normes desserts Ă la crĂšme glacĂ©e â et des annonces de cigarettes un peu Grand Prix Playerâs au Festival du jazz du Maurier au Festival Juste pour rire Craven A », on est sans cesse confrontĂ© Ă de la publicitĂ© Ă peine dĂ©guisĂ©e qui clame que fumer⊠câest faire Ă©chec Ă cette honteuse opĂ©ration de sĂ©duction? Eh bien, on fait appel aux Ayatollahs de la santĂ© », un groupe de jeunes militants dĂ©bordants dâenthousiasme, qui ont compris que lâhumour peut ĂȘtre une arme puissante contre les hommes en complet gris » dâImperial lâouverture du Festival du jazz, ce petit regroupement jusquâici inconnu a rĂ©ussi Ă dĂ©masquer de maniĂšre Ă©clatante le cĂŽtĂ© sombre de ce grand rendez-vous musical quâil a surnommĂ© le Festival international des gaz, de la nicotine et du goudron de MontrĂ©al ».Les Ayatollahs ont prĂ©parĂ© un sympathique petit dĂ©pliant aux couleurs de du Maurier pour attirer lâattention du public sur les inconvĂ©nients de laisser subventionner les plaisirs de lâĂ©tĂ© par le cartel de la nicotine. Le Festival de Jazz reçoit 1 million de dollars de la part de du Maurier. Mais si on se fie Ă la part du marchĂ© de cette marque, la compagnie reçoit en Ă©change le droit de tuer 9400 dâentre nous au Canada rendre 28 000 enfants dĂ©pendants de la cigarette causer 1 milliard de dommages en frais de santĂ© et tout ça, chaque annĂ©e. »Pour distribuer le dĂ©pliant, les Ayatollahs se sont dĂ©guisĂ©s en noir et maquillĂ©s en blanc pour souligner le cĂŽtĂ© macabre de la commandite du festival par les cigarettes du Meurtrier ». Ils ont convoquĂ© les mĂ©dias pour lâaprĂšs-midi du premier jour du festival, coin Jeanne-Mance et Sainte-Catherine, oĂč se trouve la scĂšne du organisateurs ont eu vent de la manifestation; Ă lâheure fatidique, plusieurs responsables Ă la mine plutĂŽt inquiĂšte attendaient la suite des Ă©vĂ©nements et discutaient avec les nombreux policiers sur place. On a mĂȘme pu voir sur place un reprĂ©sentant de lâagence de relations publiques Edelman, laquelle entretient des rapports Ă©troits avec lâindustrie et qui a organisĂ© le Ralliement pour la libertĂ© de commandite ».Les Ayatollahs ont dĂ©jouĂ© la police en arrivant de lâautre cĂŽtĂ© de la Place des arts et en se postant en haut des escaliers en face du Complexe Desjardins. Les journalistes ont accouru pour interviewer le porte-parole du groupe, qui disait sâappeler Jean NĂ©mard ».Tout en se disant un grand amateur de jazz, M. NĂ©mard » a vivement dĂ©noncĂ©, chiffres Ă lâappui, le fait que le festival accepte de lâargent dâImperial Tobacco. Ce nâest pas parce que la musique est bonne quâil faut se laisser subventionner par nâimporte qui, a-t-il soulignĂ©. On ne prend pas non plus lâargent de la pĂšgre pour faire un festival de jazz! »Jacques-AndrĂ© Dupont, un des organisateurs du festival, est arrivĂ© pour demander aux Ayatollahs dâarrĂȘter de distribuer des dĂ©pliants et de quitter les lieux. Il a profitĂ© de la prĂ©sence des journalistes pour lancer une contre-offensive. Vous nuisez Ă©normĂ©ment au festival de jazz, a-t-il laissĂ© tomber. Le festival de jazz se veut un Ă©vĂ©nement apolitique. »M. NĂ©mard » nâa pas eu Ă rĂ©flĂ©chir longtemps pour trouver une riposte en quoi le fait dâaccepter de lâargent du fabricant dâun produit nocif constitue-t-il un geste apolitique? Et Ă qui appartiennent les rues de MontrĂ©al, Ă une sociĂ©tĂ© privĂ©e qui organise des festivals ou aux citoyens?La vingtaine de manifestants a tout de mĂȘme dĂ©cidĂ© de quitter le site du festival devant les menaces dâarrestation, tout en promettant de revenir distribuer des lutte continueâŠDeux jours plus tard, les ayatollahs sont revenus Ă la charge avec un communiquĂ© dĂ©nonçant ce quâils prĂ©sentaient comme une violation de leur droit de manifester sur la place publique. Les dirigeants du Festival sont en dĂ©route. MalgrĂ© leurs apparences sympathiques, ils sont prĂȘts Ă tout pour bĂąillonner leurs critiques, mĂȘme Ă violer la Charte. Mais il leur faudra bientĂŽt admettre que leur association avec une entreprise meurtriĂšre touche Ă sa fin. »Le mĂȘme jour, le cabinet Boyer, GariĂ©py, Cordeau envoie aux avocats des ayatollahs une mise en demeure au nom du festival. En vertu des responsabilitĂ©s envers le public qui ont Ă©tĂ© confĂ©rĂ©es Ă notre cliente par les autoritĂ©s compĂ©tentes, nous sommes dâavis que la prĂ©sence de vos clients⊠reprĂ©sente un risque pour notre cliente. »MalgrĂ© cette mise en demeure, les Ayatollahs se sont rendus sur les lieux le soir du 28 juin et ont jouĂ© au chat et Ă la souris pendant environ trois quarts dâheure avec les forces de lâ faut sâattendre Ă ce que les Ayatollahs poursuivent leurs activitĂ©s subversives » malgrĂ© leur peu de moyens, ils ont eu droit Ă une couverture mĂ©diatique considĂ©rable. Tous les quotidiens de la mĂ©tropole leur ont consacrĂ© textes et photos; Le Devoir a mĂȘme prĂ©sentĂ© en premiĂšre page une photo dâun des manifestants, dĂ©guisĂ© en Faucheuse, avec en arriĂšre-fond une grosse pancarte ĂvĂ©nements du Maurier ».Francis Thompson
BLAGUEPOEME Aux cabinets MalgrĂ© l'humour et la vertu Il faut ici montrer son cul MalgrĂ© la haine et la fiertĂ© Il faut ici se dĂ©froquer Facebook. Adresa e-poĆĄte ili broj telefona: Lozinka: Zaboravili ste korisniÄki raÄun? Registriraj se. Ćœelim vidjeti viĆĄe objava ZA GASY TIA MIVANITIKA na Facebooku . Prijavi se. ili. Kreiraj novi korisniÄki raÄun. Ćœelim vidjeti viĆĄe objava
PubliĂ© le 11 FĂ©vrier 2007 par rose Pour bien debutĂ© la semaine ... Lol LA POESIE DES C A B I N E T S MalgrĂ© l'humour et la vertu Il faut ici montrer son cul MalgrĂ© la haine et la fiertĂ© Il faut ici se dĂ©froquer MalgrĂ© l'amour et la tendresse Il faut ici montrer ses fesses. Poussez ! Poussez ! Les constipĂ©s Le temps ici n'est pas comptĂ© Venez ! Venez ! Foules empressĂ©es Soulager lĂ votre diarrhĂ©e Car en ces lieux souvent chĂ©ris MĂȘme le papier y est fourni. Soit qu'on y pĂšte, soit qu'on y rote Tout est permis au sein des chiottes Mais ? Graine de vĂ©role ou de morpion N'oubliez pas de vous laver le fion De ces WC tant usitĂ©s PrĂ©servez donc l'intĂ©gritĂ©. Rendons gloire Ă nos vespasiennes De faĂŻence ou de porcelaine ! Que l'on soit riche ou bien fauchĂ© Jamais de classe dans les WC Pines de smicards ou de richards Venez tous voir mon urinoir ! Qu'ils s'appellent chiottes, goguenots, waters Tout le monde y pose son derriĂšre On les dit turcs ou bien tinettes Tout est une question de cuvette Quand celles-ci se trouvent bouchĂ©es Nous voilĂ tous bien emmerdĂ©s. Entrez, entrez aux cabinets Nous raconter vos petits secrets Savoir pĂ©ter c'est tout un art Pour ne pas chier dans son falzar. Si cet Ă©crit vous semble idiot Torchez-vous-en vite au plus tĂŽt Si au contraire il peut vous plaire Affichez-le dans vos waters !!! Rose ...
ï»żCORRECTION[5 fĂ©vrier 2018] : La version initiale de ce rapport identifiait Access Now et Internet Sans FrontiĂšres comme les ONG chefs de file du procĂšs des fermetures d'internet au Cameroun. En rĂ©alitĂ©, ce sont les cabinets juridiques Veritas du Cameroun et the Media Legal Defence Initiative qui ont intentĂ© le procĂšs. Aux cĂŽtĂ©s de
ï»żMalgrĂ© l'humour et la vertu Il faut ici montrer son cul MalgrĂ© la haine et la fiertĂ© Il faut ici se dĂ©froquer MalgrĂ© l'amour et la tendresse Il faut ici montrer ses fesses. Poussez ! Poussez ! Les constipĂ©s Le temps ici n'est pas comptĂ© Venez ! Venez ! foules empressĂ©es Soulager lĂ votre diarrhĂ©e Car en ces lieux souvent chĂ©ris MĂȘme le papier y est fourni. Soit qu'on y pĂšte, soit qu'on y rote Tout est permis au sein des chiottes Mais ? graine de vĂ©role ou de morpion N'oubliez pas d'vous laver l'fion De ces WC tant visitĂ©s PrĂ©servez donc l'intĂ©gritĂ©. Que l'on soit riche ou bien fauchĂ© Jamais de classe dans les WC Pines de smicards ou de richards Venez tous voir mon urinoir ! Qu'ils s'appellent chiottes, goguenots, waters Tout l'monde y pose son derriĂšre On les dit turcs ou bien tinettes Tout est une question de cuvette Quand celles-ci se trouvent bouchĂ©es Nous voilĂ tous bien emmerdĂ©s. Entrez, entrez aux cabinets Nous raconter vos p'tits secrets Savoir pĂ©ter c'est tout un art Pour ne pas chier dans son falzar. Si cet Ă©crit vous semble idiot Torchez-vous-en vite au plus tĂŽt Si au contraire il peut vous plaire Affichez-le dans vos waters !!!
ProcĂšsdu vendredi 13 novembre, la dĂ©fense, malgrĂ© lâeffroi. Ils sont trentenaires, tout juste sortis de la trĂšs sĂ©lecte confĂ©rence du barreau
Les Afghanes disparaissent de l'espace public dans leur pays, derriĂšre des burkas. Hormis les mĂ©decins et infirmiĂšres, les femmes n'ont plus le droit de travailler et les adolescentes de 12 Ă 17 ans d'aller Ă l'Ă©cole. Pour les Ă©tudiantes aussi, beaucoup de choses ont changĂ©. TĂ©moignage. Le nouveau rĂ©gime, dont le premier rĂšgne brutal Ă l'Ă©gard des femmes entre 1996 et 2001 reste gravĂ© dans les mĂ©moires, a prĂ©cisĂ© ces derniers jours sa politique Ă leur encontre, qu'il promet plus modĂ©rĂ©e que par le passĂ©. Il y a vingt ans, les talibans interdisaient toute Ă©ducation et tout travail hors du les Ă©tudiantes des universitĂ©s privĂ©es ont Ă©tĂ© autorisĂ©es, officiellement, Ă reprendre les cours - mais sĂ©parĂ©es des hommes et avec abaya et hijab obligatoires - tout comme les Ă©lĂšves d'Ă©coles primaires. Les collĂ©giennes et lycĂ©ennes afghanes retourneront en cours aussi vite que possible », ont assurĂ© ce mardi 21 septembre les talibans dont l'annonce rĂ©cente d'une sĂ©rie de restrictions envers les femmes avait fait craindre qu'ils n'interdisent Ă nouveau aux jeunes filles d'Ă©tudier. âș Ă lire aussi En Afghanistan, face aux talibans, des femmes manifestent pour dĂ©fendre leurs droits Nous finalisons les choses. Cela arrivera aussi vite que possible », a affirmĂ© Zabihullah Mujahid, porte-parole du rĂ©gime des talibans, lors d'une confĂ©rence de presse Ă Kaboul, ajoutant que le gouvernement souhaitait offrir un environnement Ă©ducatif sĂ»r » aux filles avant leur retour en nombre d'Afghanes continuent de douter de la volontĂ© rĂ©elle des islamistes de leur accorder des libertĂ©s. C'Ă©tait dĂ©jĂ comme ça la derniĂšre fois [entre 1996 et 2001, NDLR]. Ils n'avaient cessĂ© de dire qu'ils nous autoriseraient Ă retourner travailler, mais ça n'est jamais arrivĂ© », avait indiquĂ© lundi Ă l'AFP une professeure. Elle va rester sans instruction »De fait, la porte s'est dĂ©jĂ refermĂ©e pour de nombreuses femmes. C'est ce que raconte Farshi, 26 ans, travailleuse sociale diplĂŽmĂ©e, l'aĂźnĂ©e d'une fratrie de 6 enfants. Une de mes soeurs est en 3e, donc elle est Ă la maison puisqu'elle n'a plus le droit d'aller Ă l'Ă©cole, raconte-t-elle, jointe par Carlotta Morteo, du service International de RFI. Nous sommes trĂšs tristes, parce qu'elle va rester sans instruction, alors qu'elle est trĂšs intelligente, elle est la deuxiĂšme de sa classe. Tout ce qu'elle peut faire, c'est Ă©tudier les livres Ă la maison. » Mon autre sĆur, elle, est Ă l'universitĂ©, poursuit Farshi. Elle Ă©tudie le droit, c'Ă©tait son dernier semestre. Elle devait passer ses examens, mais ils les ont annulĂ©s. Les Ă©tudiantes n'ont plus le droit de suivre ces cours. Ils ont Ă©liminĂ© des matiĂšres le droit international, l'histoire, la gĂ©ographie, les sciences de l'environnement, les langues aussi. On n'a plus le droit d'apprendre l'anglais Ă l'UniversitĂ© et dans les Ă©coles. Il ne reste que les matiĂšres basiques le pashto, le dari et les maths. Qu'est-ce qu'on va faire de ça ? » Farshi, elle-mĂȘme, subit de plein fouet les restrictions, qui s'apparentent Ă une interdiction dĂ©guisĂ©e. J'ai une licence et je voulais passer mon Master, confie-t-elle. Mais puisque maintenant nous ne pouvons plus ĂȘtre dans les mĂȘmes classes que les garçons, et que je suis la seule fille inscrite, l'UniversitĂ© n'a pas pu ouvrir une classe rien que pour moi. Je suis tellement dĂ©primĂ©e. Je voulais poursuivre avec un doctorat. Tous nos espoirs sont brisĂ©s. » âș Ă lire Ă©galement DoNotTouchMyClothes face aux talibans, les Afghanes dĂ©fendent leurs tenues traditionnelles Pour leur sĂ©curitĂ© »Les talibans ont Ă©galement depuis leur arrivĂ©e largement limitĂ© l'accĂšs des femmes au monde du travail, leur disant de rester chez elles pour leur sĂ©curitĂ© » et jusqu'Ă ce qu'ils puissent organiser la sĂ©paration entre hommes et femmes Ă©galement sur les lieux de 19 septembre, le nouveau maire de Kaboul avait annoncĂ© que dans sa municipalitĂ©, les emplois des femmes seraient dĂ©sormais occupĂ©s par des pilule est d'autant plus amĂšre que les Afghanes Ă©taient parvenues, ces derniĂšres annĂ©es, Ă gravir les Ă©chelons et Ă ĂȘtre nommĂ©es pour certaines Ă des postes jusque-lĂ rĂ©servĂ©s aux hommes, de pilote Ă juge en passant par centaines de milliers d'entre elles sont ainsi entrĂ©es dans le monde du travail, une question de survie pour celles que des dĂ©cennies de guerre ont laissĂ©es veuves ou en charge d'un mari handicapĂ©.âș Ă Ă©couter Femmes afghanes Il n'y a plus de possibilitĂ© de travailler et d'exercer mon mĂ©tier de juge»MinistĂšre de la Promotion de la vertu et de la PrĂ©vention du viceLe nouveau rĂ©gime afghan a par ailleurs achevĂ© la formation de son gouvernement, qui ne comprend aucune femme ministre ni ministĂšre des Femmes, a annoncĂ© Zabihullah Mujahid. Les talibans ont fait entrer quelques membres d'autres communautĂ©s, conformĂ©ment Ă leur engagement initial d'avoir un cabinet ouvert Ă la diversitĂ©. Ainsi, le nouveau ministre dĂ©lĂ©guĂ© Ă la SantĂ© est un membre de la communautĂ© Hazara, minoritĂ© chiite persĂ©cutĂ©e par les talibans dans les annĂ©es 1990, et celui du Commerce un marchand originaire du Panshir, province d'ethnie tadjike historiquement hostile aux les talibans ne sont pas revenus sur l'absence de place faite aux femmes dans l'exĂ©cutif. Ils avaient la semaine derniĂšre installĂ© le ministĂšre de la Promotion de la vertu et de la PrĂ©vention du vice, craint pour son fondamentalisme durant le premier rĂšgne taliban, Ă la place de l'ancien ministĂšre des Affaires fĂ©minines.âș Ă Ă©couter LittĂ©rature sans frontiĂšres En soutien aux femmes afghanes avec l'Ă©crivaine Chabname ZariĂąb
Malgréla tentation du private equity qui tend à retarder le moment d'effectuer le saut de l'entrée en Bourse, Stéphane Boujnah s'est dit "assez confiant pour 2020", évoquant un
MalgrĂ© l'humour et la vertu Il faut ici montrer son cul MalgrĂ© la haine et la fiertĂ© Il faut ici se dĂ©froquer MalgrĂ© l'amour et la tendresse Il faut ici montrer ses fesses. Poussez ! poussez ! les constipĂ©s Le temps ici n'est pas comptĂ© Venez ! venez ! foules empressĂ©es Soulager lĂ votre diarrhĂ©e Car en ces lieux souvent chĂ©ris MĂȘme le papier y est fourni. Soit qu'on y pĂšte, soit qu'on y rote Tout est permis au sein des chiottes Mais ? graine de vĂ©role ou de morpion N'oubliez pas d'vous laver l'fion De ces WC tant usitĂ©s PrĂ©servez donc l'intĂ©gritĂ©. Rendons gloire Ă nos vespasiennes De faĂŻence ou de porcelaine ! Que l'on soit riche ou bien fauchĂ© Jamais de classe dans les WC Pines de smicards ou de richards Venez tous voir mon urinoir ! Qu'ils s'appellent chiottes, goguenots, waters Tout l'monde y pose son derriĂšre On les dit turcs ou bien tinettes Tout est une question de cuvette Quand celles-ci se trouvent bouchĂ©es Nous voilĂ tous bien emmerdĂ©s. Entrez, entrez aux cabinets Nous raconter vos p'tits secrets Savoir pĂ©ter c'est tout un art Pour ne pas chier dans son falzar. Si cet Ă©crit vous semble idiot Torchez-vous-en vite au plus tĂŽt Si au contraire il peut vous plaire Affichez-le dans vos waters !!!
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