ï»żLombre d'un doute - Robespierre, bourreau de la VendĂ©e . Franck Ferrand ose un vrai travail d'historien en convoquant des spĂ©cialistes critiques de la question ordinairement cantonnĂ©s dans des milieux malheureusement en audience limitĂ©e (StĂ©phane Courtois, Reynald Secher, Dominique Lambert) dans une Ă©mission sur la RĂ©volution française. Entre 1793 et 1796, la Re Hommage Ă  Robespierre par Alpha55 Ven 4 Sep - 1118Cet individu fut un gĂ©nocidaire. Un criminel comme le fut Staline, qu'il inspira certainement... Re Hommage Ă  Robespierre par Francis XV Ven 4 Sep - 1203Alpha55 a Ă©critCet individu fut un gĂ©nocidaire. Un criminel comme le fut Staline, qu'il inspira certainement...PrĂ©cisons quand mĂȘme qu'il n'Ă©tait pas tout seul, et qu'on a quand mĂȘme tendance Ă  beaucoup charger la mule pour des choses dont il n'est pas responsable. La guerre ce n'est pas lui qui l'a initiĂ©, et il a du gĂ©rer une situation trĂšs compliquĂ©e. Re Hommage Ă  Robespierre par Plaristes Evariste Ven 4 Sep - 1456Le twit explique comment on a Ă©crit la lĂ©gende noir de comment ce complot aristocratique de la part des franges les plus sans vergogne de la bourgeoisie a Ă©tĂ© mis en place, par ces mĂȘme qi ont continuĂ© la terreur pour tuer tous les Babeufs et gas du peuple qui critiquait Robespierre pour ĂȘtre trop bourgeois, trop conciliant avec le droit de propriĂ©tĂ© des grand moyens de production, ou qui Ă  l'inverse d'ĂȘtre trop dur dans sa rĂ©pression et parfois les deux en mĂȘme lĂ  sont passĂ© Ă  la casserole sous cette nouvelle terreur dont personne ne parle, qui n'est pas enseignĂ©e dans les manuels d' peut-ĂȘtre la plus sanglante de Alpha sont des moutons qui suivent Ă  la lettre la propagande que l'ont dĂ©nonce ici. Re Hommage Ă  Robespierre par Isabelle Ven 4 Sep - 1630une belle ordure, qui a pĂ©ri comme ceux qu'il a lĂąchement assassinĂ©s, tant mieux Re Hommage Ă  Robespierre par Plaristes Evariste Ven 4 Sep - 1657Non.....Robespierre a voulu faire passer Ă  la guillotine Joseph Foucher & co pour leurs mĂ©faits, alors que ton Louis XVIII lui il a employĂ© Foucher comme ministre de l' HĂ©bert et Danton il a choisi ce que j’ai mis dans mon premier buveur de sang c'est de la pure calomnie ! Ceux qui disait ça massacraient Ă  tour de bras !Limite christ Ă©tait plus coupable que l'incorruptible. Car on a pas gĂ©nocidĂ© des gens en disant que c'Ă©tait la faute de JĂ©sus. Re Hommage Ă  Robespierre par Francis XV Ven 4 Sep - 2117Isabelle a Ă©critune belle ordure, qui a pĂ©ri comme ceux qu'il a lĂąchement assassinĂ©s, tant mieux Ecoutez un peu Plariste mĂȘme si Robespierre a sans aucun doute mĂ©ritĂ© son sort, il n'Ă©tait pas forcĂ©ment le pire de la bande, et vous noterez qu'un certain FouchĂ© bien plus responsable de massacres que Robespierre, n'est lui pas allĂ© Ă  la Guillotine et Ă  mĂȘme Ă©tĂ© chef de la police sous NapolĂ©on. Re Hommage Ă  Robespierre par Francis XV Ven 4 Sep - 2227Plaristes a Ă©critEt Louis XVIII l'a faut pas exagĂ©rer quand mĂȘme ...Mais d'autres ont Ă©tĂ© recyclĂ©s Re Hommage Ă  Robespierre par Francis XV Ven 4 Sep - 2359Plaristes a Ă©critRobi lui il a voulu virĂ© pour le boulot de enfin Robi il a quand mĂȘme bien niquĂ© les sans-culottes ... Bon OK ils n'avaient pas de culotte, mais c'est pas une raison ! Re Hommage Ă  Robespierre par Plaristes Evariste Sam 5 Sep - 1201Dire que dans les chef d'accusation de la lĂ©gende noire il voulait rendre tout le monde sans culotte. Re Hommage Ă  Robespierre par Francis XV Sam 5 Sep - 1339Plaristes a Ă©critDire que dans les chef d'accusation de la lĂ©gende noire il voulait rendre tout le monde sans c'est faux !Du bouquin que j'ai mis en rĂ©fĂ©rence, on tire plusieurs conclusions. Que le but entre autre des Girondins comme des Montagnards Ă©tait de maintenir au pouvoir la classe bourgeoise, mais qu'il y a eu un os le mouvement sans-culotte Girondins ou serait-il plus exact de les dĂ©nommer Brissotins Ă©taient prĂȘts au compromis avec la noblesse de l'ancien rĂ©gime pour Ă©craser les sans-culottes, les Montagnards ont eu l'idĂ©e de manipuler ce mouvement sans-culotte pour supprimer leurs ennemis et du coup ont du leur faire beaucoup de concessions comme la loi sur le maximum. Une fois la menace "rĂ©actionnaire" Ă©cartĂ©e les montagnard ce sont empressĂ©s de dĂ©capiter le mouvement sans-culotte en Ă©liminant "les enragĂ©s" qui le menaient et commençaient Ă  mettre sĂ©rieusement en question le pouvoir bourgeois de la convention. Ensuite le reste n'est que luttes entre factions rivales au sein des montagnards Danton, HĂ©bert, Robespierre, et finalement Robespierre mĂȘme trahi par le reste du comitĂ© de salut public les technocrates qu'il avait menĂ© au Ă  la guerre contre la Prusse et l'Autriche, il est manifeste que se sont les Girondins qui en sont Ă  l'origine, l'objectif vĂ©ritable Ă©tant de faire main basse sur les ports de la mer du Nord et de dominer ainsi le commerce atlantique, rappelons que ces messieurs Ă©taient pour la plupart de gros nĂ©gociants vivant du commerce atlantique fortement concurrencĂ©s par les anglais qui avaient leurs entrĂ©es par les ports de la cette guerre rĂ©clamait toujours plus de chair Ă  canon, d'oĂč la conscription et d'oĂč l'insurection vendĂ©enne et d'oĂč la rĂ©pression sanglante sous "la terreur" en VendĂ©e. Mais Robespierre n'a pas initiĂ© cette guerre, je crois c'est Ă  vĂ©rifier qu'il Ă©tait mĂȘme contre au dĂ©part. Il est vrai qu'ultĂ©rieurement Danton va tenter de nĂ©gocier la paix et que ça lui coutera la vie, mais il faut Ă©galement souligner que le dit Danton et ses amis ont pas mal tapĂ© dans la caisse, ce qu'on ne pourra jamais reprocher Ă  l'incorruptible ... Sujets similairesPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum LOmbre d’un doute (Fr3) : Les massacres en VendĂ©e durant la Terreur (1793-94) (MĂ J Rioufol) Aetius. 08/03/2012 Ă  17h39. RTL ‘on refait le monde’ Ivan Rioufol le 8/03/2012. des «Oradour-sur-Glane», il y en a eu 2 ou 3 lĂ -bas. La RĂ©publique aussi, a avalisĂ© un gĂ©nocide _____ L’Ombre d’un doute du 07/03/12 : “Robespierre, bourreau de la VendĂ©e ?” Jean Sarkozy obtient L’Ombre d’un doute » est un roman de Nadia Agsous. ÉditĂ© par les Éditions Frantz Fanon, BoumerdĂšs, 12. 2020. 147 pages. La photo de couverture a Ă©tĂ© prise devant le mausolĂ©e Sidi Abdelkader Ă  BejaĂŻa, l’un des 99 saints de la rĂ©gion. On peut lire en quatriĂšme de couverture Bent’Joy est une ville-lĂ©gende qui traĂźne son passĂ© comme un boulet. Toute idĂ©e de renouveau y est vĂ©cue comme une menace Ă  son identitĂ©. L’Ombre d’un doute », est un vĂ©ritable conte moderne, qui se lit comme un poĂšme Ă©pique ». Il est composĂ© de sept courts chapitres et 17 sous-chapitres. Il dĂ©veloppe l’intrigue sur quatre temporalitĂ©s la premiĂšre marque l’arrivĂ©e de Sidi Akadoum en 1602 et le rĂšgne du bon prince », la 2° est celle de Sa MajestĂ© Le Pouilleux qui haĂŻssait Sidi Akadoum et qu’il a dĂ©mis de ses fonctions et exilĂ© », la 3° couvre le rĂšgne du fils de Sa MajestĂ© Le Pouilleux qui ne pense qu’à faire la fĂȘte », jusqu’à la fuite de la famille royale. La derniĂšre enveloppe notre rĂ©alitĂ©. Le discours n’est pas linĂ©aire, et les pĂ©riodes et Ă©vĂ©nements s’entrecroisent tout le long du livre. Il y a donc une difficultĂ© pour qui s’attend Ă  une intrigue simple, tels les composants d’une quelconque piĂšce de mĂ©tier Ă  tisser. Non, les fils de chaĂźne et de trame sont nombreux. Et les patrons divers et parfois temporalitĂ©s ne sont pas linĂ©aires donc. Ce qui est mis en avant ce sont les personnages et les Ă©vĂ©nements qui les articulent et stimulent sur une trajectoire, un spectre de quatre siĂšcles. Il y a de nombreux personnages, les principaux Ă©tant le narrateur, sa mĂšre qui ne comprend pas son fils ah cette gĂ©nĂ©ration, il faut que vous le sachiez, cet homme Sidi Akadoum est notre sauveur » ; une autre femme dont la voix est rocailleuse, une femme habitĂ©e par la folie blanche ». Nous ne connaissons pas leur nom. Et Sidi Akadoum. Ils traversent tous le roman sans trop insister sur la diachronie. Ce qui importe est l’ cƓur territorial est la ville de Bent’Joy BejaĂŻa ?, embellie par une Montagne sacrĂ©e
 et la pluie. La ville est repliĂ©e sur elle-mĂȘme et sa mĂ©moire est engourdie, enlisĂ©e dans les sables mouvants de son histoire. » Sans difficultĂ©, derriĂšre la mĂ©taphore nous reconnaissons l’AlgĂ©rie et les sempiternelles interrogations qui jaillissent dĂšs que son nom est prononcĂ©. Sont posĂ©es les questions de l’appropriation des identitĂ©s nationales, leur construction, leur falsification Ă  outrance »  Mais pourquoi ce nom de Bent’Joy qui sent plus le vieux far west amĂ©ricain que la bougie Ă©ponyme parfumĂ©e Ă  la rose d’Austin fiertĂ© des bougiotes. Des crĂ©atures Ă©tranges apparaissent ici et lĂ , Ă  cĂŽtĂ© des autres personnages dans ce conte moderne, de ce poĂšme Ă©pique » 4° de couverture dans des rĂ©alitĂ©s fantasmĂ©es, dans une possibilitĂ© fardĂ©e d’ombres, sous le dĂ©luge nous croisons des hommes accoutrĂ©s de longues robes noires, arborant sur leurs fronts des bandeaux rouge-vermillon », ainsi que Athina et Amjah, deux ĂȘtres Ă  l’apparence fragile », toutes les inhumanitĂ©s du monde, se concentraient dans leurs gros intestins
 la pluie cinglait leurs visages
 Ils burent goulĂ»ment leurs maux, en silence sans mot dire
 Et ils avalĂšrent leurs mots, sans maudire
 », mais aussi un chat mort pourri, des crĂąnes vomis, d’os se transformant en aigle noire », et enfin des anges de la Bienvenue Ă  travers des spectacles de magie noire
Des crĂ©atures Ă©tranges qui apparaissent Ă©galement au travers les divagations du narrateur qui, pris de doute au milieu de la nuit, quitte sournoisement ou Ă  bas bruit’’ locution rĂ©pĂ©tĂ©e son lit pour s’installer dans la terrasse familiale oĂč l’attendait un petit ĂȘtre Ă©trange ». Le narrateur vit une expĂ©rience fantastique. Le voilĂ  errant dans la nuit de mes rĂȘves. Je traversais les Ăąges. Je chevauchais les siĂšcles
 J’avançais lentement dans les dĂ©dales souterrains de mes errances existentielles lorsque surgit, devant mes yeux emplis de sommeil visqueux, le passĂ© de Bent’Joy. » En son for intĂ©rieur il entendait la voix enjouĂ©e de sa mĂšre qui dissipait ma crainte, apaisait ma peur, distillait dans mon cƓur l’envie d’affronter l’imprĂ©visible et d’éclairer les zones d’ombres de l’histoire de Sidi Akadoum ». Car il s’agit bien d’une paisible ville, Bent’ Joy, qui d’une part a Ă©tĂ© bouleversĂ©e par l’arrivĂ©e Ă  dos de chameau » d’un homme, Alùù di Paya el Mandouli, alias Sidi Akadoum, et de sa philosophie qui aliĂšne en douceur » et d’autre part va refuser que son identitĂ© soit emportĂ©e par la tempĂȘte de ce prophĂšte sans barbe, À la vie ! À la mort ! » Sidi Akadoum arriva Ă  dos de chameau, Ă  l’aube du 20° jour de l’étĂ© de l’an 1602 aucun lien Ă  faire – ici – avec le de l’an 19. Sur la CĂŽte d’Argent. D’abord un Boum ! On aurait dit un tremblement de terre. Un homme
 et un animal
 s’affalĂšrent sur le rivage ». Le vacarme fut tel qu’il Ă©branla la Montagne sacrĂ©e et effraya les habitants. Sidi Akadoum est un ĂȘtre absent, sans visage, profondĂ©ment ancrĂ© dans les confins de la mĂ©moire collective ». Nous sommes amenĂ©s par le choix de mots, de lieux
 Ă  faire un rapprochement avec un ensorceleur qui possĂ©dait des pouvoirs divinatoires », un Marabout, un idĂ©ologue islamiste, peut-ĂȘtre mĂȘme Le prophĂšte la grotte, l’araignĂ©e, le Livre Saint, certains versets dĂ©tournĂ©s
 de la fragilitĂ© nous naissons. Dans la fragilitĂ© nous vivons. À la fragilitĂ© nous retournerons. »Au lever du jour, Sidi Akadoum, inconnu alors, baragouina quelques mots dans une langue Ă©trangĂšre aux habitants », il cligna des yeux et aboya. Son cauchemar prit l’allure d’un verre de terre’’ qu’un oiseau de mer emporta. Trois mois aprĂšs son arrivĂ©e, un orage diluvien s’abattit sur la ville ». Il a plu nuit et jour durant une semaine. Le ciel noir porta le lourd fardeau de la colĂšre divine ». Les oracles convoquĂ©s par le prince priĂšrent, le roi sacrifia une tonne de poules et de moutons ». En vain. Jusqu’à l’apparition de Sidi Akadoum. Soudain, tout redevint calme. La mer se reconstitua en prĂ©sence des habitants qui assistĂšrent Ă  la scĂšne en s’exclamant d’étonnement et de joie. » Le roi saisit cette occasion pour faire connaissance de Sidi Akadoum. Aux yeux de la population, cet homme, qui Ă©tait de plus en plus apprĂ©ciĂ©, Ă©tait un faiseur de miracles, un sauveur. » Cette intervention inaugura le dĂ©but d’une amitiĂ© » qui mĂšnera Sidi Akadoum jusqu’à la fonction de Vizir du bon prince ». Sidi Akadoum apprit la langue locale dans ses moindres dĂ©tails et Ă©tudia minutieusement l’histoire, les mƓurs des habitants. Partout il rĂ©pandait la joie, il Ă©blouissait, il sĂ©duisait ». Dans un livre il consignerait ses mĂ©moires Le parchemin de mes annĂ©es Ă  Bent’Joy ».Une des rares fausses notes sur le tableau d’accueil de Sidi Akadoum est une vieille femme, une folle, Ă  la voix particuliĂšre. La voix rocailleuse d’une femme habitĂ©e par la folie blanche irait dans les ruelles de Bant’Joy, mettant en garde contre la prophĂ©tie de l602 », celle de Sidi Akadoum. Ô gens de peu ! Maudissez le nid nuptial vide de Sidi Akadoum, Ô gens de rien ! Il Ă©touffera votre parole !... » Elle le poursuivra longtemps. Cette femme habitĂ©e par la folie a-t-elle jamais cĂŽtoyĂ© LĂ©on-Gontran ? Qu’attendons-nous/ les gueux/ les peu/ les rien
/ pour jouer aux fous/ pisser un coup/ tout Ă  l’envi/ contre la vie/ stupide et bĂȘte/ qui nous est faite
 » Peut-ĂȘtre. La voix de la folle traverse le livre en italique et avec conviction et des mots lourds, appelant les citoyens de la ville Ă  rĂ©agir, Ă  ouvrir les yeux, Ă  sortir de leur lĂ©thargie, Ă  dĂ©noncer cet homme voleur de lumiĂšre », la supercherie des siĂšcles, il vous engloutira dans les tĂ©nĂšbres envoĂ»tantes. » Nous renouons ici avec les temporalitĂ©s indiquĂ©es plus haut. Le prince est mort, vive le Prince. Sa MajestĂ© Le Pouilleux, qui succĂ©da Ă  son pĂšre le bon prince », Ă©tait exĂ©crable, autoritaire. Il haĂŻssait Sidi Akadoum qu’il a dĂ©mis aussitĂŽt de ses fonctions et exilĂ©. Pour accĂ©lĂ©rer son dĂ©part il lui offrit biens et bĂ©tail que le bĂ©nĂ©ficiaire donna Ă  son tour Ă  des pauvres prĂ©fĂ©rant vivre dans la discrĂ©tion. Mais Pendant que Sa MajestĂ© Le Pouilleux Ă©tait persuadĂ©e qu’il avait quittĂ© la ville, alors que les descendants de la lignĂ©e royale se faisaient la guerre, lui, Sidi Akadoum, ralliait Ă  sa cause la population de Bent’Joy. » En deux ans ils adoptĂšrent sa philosophie qui aliĂ©nait en douceur ». Les habitants Ă©difiĂšrent sur le Rocher flou, lĂ  mĂȘme oĂč il vivait, un mausolĂ©e en son honneur. Et il fut proclamĂ© Saint de tous les Saints ». Le lieu devint un lieu de pĂšlerinage oĂč on venait chercher un soulagement aux dĂ©sordres intĂ©rieurs » attribuĂ©s aux djinns. Le Pouilleux, comme son pĂšre, mourut d’une chute. Il tomba du haut de la Montagne sacrĂ©e et mourut dans sa chute. Sa disparition fut accueillie dans la joie et la liesse » par la population. Les femmes investirent la rue annonçant la fin d’une Ăšre et l’avĂšnement d’une Ă©poque qu’elles embelliraient » Sidi Akadoum Ă©crivit sur son cahier Un Monde humanisĂ© est dĂ©sormais possible ! » Et les habitants y crurent. La ville n’allait pas tarder Ă  vivre des changements radicaux ».La mĂšre du narrateur il y a lĂ  un saut temporel se rend au mausolĂ©e de Sidi Akadoum avec d’autres femmes pour offrir leurs corps et leurs Ăąmes Ă  l’absent vĂ©nĂ©rĂ© ». Lui ne comprend pas qu’on puisse porter tant de dĂ©votion Ă  un ĂȘtre Messie, Rassoul, ProphĂšte » dont on ne sait ce qu’il a fait pour Bent’Joy ? » il y a fixĂ© son existence », mais il n’en est pas originaire. La mĂšre et son fils ne se comprennent pas. Pour elle, cet homme est notre sauveur, il est le symbole de notre unitĂ©, il nous a rendu notre dignitĂ©, va vite te recueillir sur sa tombe ». Le narrateur, comme la femme Ă  la voix rocailleuse, s’opposait Ă  l’idĂ©ologie de cet homme vĂ©nĂ©rĂ© par sa mĂšre. Un jour il lui dirait Je la regarderais droit dans les yeux et lui avouerais ce que je pensais de Sidi Akadoum, cet homme qui avait emprisonnĂ© tant d’ñmes, bluffĂ© les plus crĂ©dules
 » Une procession d’hommes et de femmes marchaient sous la pluie battante. Je les voyais avancer main dans la main, piĂ©tinant leurs traumatismes et conjurant le malheur des annĂ©es passĂ©es sous le rĂšgne de la mĂ©diocritĂ© obscure. » Vingt et uniĂšme siĂšcle. L’aube des jours heureux faisait son entrĂ©e dans la lĂ©gende primitive. Je m’agrippai au sommeil qui m’emportait jusqu’aux confins de mes origines lointaines. » Bent’ Joy toujours belle et dĂ©sormais rebelle », se purifiait sous la pluie battante, de ses impuretĂ©s primitives. Son avenir radieux se dessinait. DĂšs que les premiĂšres lueurs du jour caresseraient son visage, la femme Ă  la voix rocailleuse irait boire le lait de dattes pour cĂ©lĂ©brer l’ensevelissement de la ProphĂ©tie de l’Aube 1602 dans le terreau des faut seulement ĂȘtre patient et ne jamais rien lĂącher comme dit la chanson Notre rĂ©alitĂ© est la mĂȘme/ et partout la rĂ©volte gronde/ Dans ce monde on n’avait pas notre place/
 On lĂąche rien, on lĂąche rien
walou !
 HK et les Saltimbanks. Ne dit-on pas que la patience est mĂšre de toutes les vertus ? VoilĂ  donc un beau livre, hommage aux luttes des femmes et des hommes pour la rĂ©appropriation de leur rĂ©elle histoire, pour la vĂ©ritĂ©, pour la dignitĂ©, pour le futur. L’écriture est fluide. Le roman est agrĂ©able Ă  lire. Nadia Agsous utilise beaucoup l’énumĂ©ration avec rĂ©pĂ©tition de possessifs, de prĂ©positions, de substantifs 
 pour appuyer une idĂ©e, mettre en relief une pratique, un dĂ©roulĂ© d’action
 exemple 
 aprĂšs avoir errĂ© pendant plus de deux annĂ©es, de dune en dune, d’oasis en oasis, d’étendue de sable en Ă©tendue de sable, de bourgade en bourgade
 », il dĂ©couvrait ses habits, leurs modes de vie, leurs mƓurs, leurs atouts, leurs faiblesses
 », la ville perdit sa joie, ses couleurs, sa beautĂ©, son allĂ©gresse, sa clĂ©mence », chacun portait sur son dos un instrument de musique un violon, une harpe, une mandoline, une derbouka, un tambourin », ce jour-lĂ  j’avais osĂ©, j’avais parlĂ©, j’avais dit, j’avais usĂ© du verbe, je n’avais pas mĂąchĂ© mes mots », elle courait, elle allait et venait, elle portait, elle cuisinait, elle goĂ»tait, elle donnait, elle comptait, elle sermonnait, elle fĂ©licitait, elle s’emportait, elle me lançait des regards chargĂ©s d’amour. »Les personnages sont touchants, particuliĂšrement La folle Ă  la voix rocailleuse, mĂȘme s’ils manquent d’épaisseur. Ici, nous basculons dans les rĂ©serves et il y en a d’autres. Nombre de fois il y a indistinction ou plutĂŽt des va-et-vient dĂ©libĂ©rĂ©s entre le systĂšme du prĂ©sent et celui du passĂ© de sorte que la narration parfois nous Ă©chappe je devrais relire le roman. Nous avons parfois cette sensation que la narration s’appuie sur une succession de faits froids au dĂ©triment de la description portraits, Ă©tats d’ñme
 C’est peut-ĂȘtre un choix. Heureusement qu’il y a de nombreuses pages au discours direct les paragraphes en italique. Par contre l’utilisation de mots gĂ©nĂ©ralement peu usitĂ©s ou Ă©rudits alourdit le texte. Je cite pour exemple valĂ©tudinaires, animadversion, dĂ©hiscence, obombrer, Ă  la venvole
 Il y a aussi des expressions ou jeux de mots malheureux ou fautes d’inattention de bouche en bouche, mĂąles en mal d’amour, elles acceptĂšrent sans mot dire’’ ou sans maudire’’ avec rĂ©pĂ©tition, L’architecture de ces rĂ©sidences Ă©taient’’
, leur hĂ©ro’’, ils dormaient Ă  points’’ fermĂ©s », son allure et sa dĂ©marche fascinait’’...Mais, heureusement, les passages poĂ©tiques qui glissent dans le roman sont nombreux et nous font vite oublier les Ă©carts ci-dessus - J’errais dans les nuits de mes rĂȘves. Je traversais les Ăąges, je chevauchais les siĂšcles, je comptais les annĂ©es, je dĂ©rĂ©glais les ressorts du temps
 j’avançais lentement dans les dĂ©dales souterrains de mes errances existentielles lorsque surgit devant mes yeux le passĂ© de Bent’Joy. » - L’aube des jours heureux faisait son entrĂ©e dans la lĂ©gende primitive. Je m’agrippai au sommeil qui m’emportait jusqu’aux confins de mes origines lointaines. » - Allez-vous-en ! votre vue nous est insupportable ! Allez cheminer
, Vos vies sont des tragĂ©dies
, Allez, disparaissez
 » - Une femme marchait Ă  mes cĂŽtĂ©s. Le silence de ses pas apaisait. Il agissait sur mon Ăąme comme une douce caresse aux senteurs de l’enfance heureuse et insouciante. Des effluves d’ambre se rĂ©pandaient dans l’air. L’ambre de ma mĂšre. L’ambre de ma jeunesse heureuse passĂ©e Ă  courir aprĂšs une promesse de magie ; cette senteur envoĂ»tante qui dit l’ardeur de l’amour maternel rĂ©sonnait dans mon corps avec une Ă©tonnante familiaritĂ©. L’ambre blanc avait le pouvoir de transformer la vanitĂ© du monde en promesse d’épanouissement. » - À la lecture de la page 116, sans pouvoir me l’expliquer le rythme, les mots ?, notamment de la longue tirade d’un des Grands FrĂšres de la P’tite Mort le plus ĂągĂ©, le plus puissant, le plus pernicieux », je fus transportĂ© dans les annĂ©es 70, avec les paroles de La solitude de LĂ©o ferrĂ© qui fut un de nos marqueurs .Tirade du grand FrĂšre Nous portons nos vies comme un haillon ravaudĂ©. Nous avons Ă©tĂ© tĂ©moins du ravissement du cƓur battant de vos esprits vifs, et dans l’aurore de vos vies Ă  peine rougeoyantes, nous avons assistĂ© au dĂ©pouillement de vos entrailles bouillonnantes. Nous avons surpris des mains drapĂ©es dans un tissu vert oindre vos corps d’huile du pessimisme
 »La solitude de LĂ©o FerrĂ© Les flics du dĂ©tersif, Vous indiqueront la case, OĂč il vous sera loisible de laver, Ce que vous croyez ĂȘtre votre conscience, Et qui n'est qu'une dĂ©pendance de l'ordinateur neurophile, Qui vous sert de cerveau, Et pourtant
 »PoĂ©sie pour poĂ©sie, une attention particuliĂšre est Ă  porter aux mots de la femme Ă  la voix rocailleuse. On peut comprendre le combat de ces femmes et de ces hommes ou mĂȘme adhĂ©rer Ă  leurs convictions pour atteindre la vĂ©ritĂ©, retrouver leur vĂ©ritable histoire, Ă©crire leur Roman national inclusif. Le nĂŽtre. Reste le cheminement et là
 Le lecteur algĂ©rien mais pas seulement a besoin de ce type de roman. C’est le premier de Nadia Agsous, une belle performance, sans l’ombre d’un Hanifi,Marseille le jeudi 9 septembre 2021Dossier complet sur mon site Home/ Series / L'ombre d'un doute / Aired Order / Season 2012 / Episode 4 En 1794, Robespierre est exĂ©cutĂ© et la situation commence Ă  se tasser. Il faudra attendre 1796 pour que la guerre cesse, laissant derriĂšre elle une VendĂ©e exsangue. English français. Originally Aired March 7,
Franck Ferrand ose un vrai travail d'historien en convoquant des spĂ©cialistes critiques de la question ordinairement cantonnĂ©s dans des milieux malheureusement en audience limitĂ©e StĂ©phane Courtois, Reynald Secher, Dominique Lambert dans une Ă©mission sur la RĂ©volution française. Entre 1793 et 1796, la VendĂ©e fut le théùtre d'affrontements d'une rare violence entre des paysans insurgĂ©s et le pouvoir rĂ©volutionnaire, en particulier lors de l'envoi des colonnes infernales en 1794. Massacre de patriotes, massacres de royalistes 170 000 VendĂ©ens pĂ©rirent. En 1794, Robespierre est exĂ©cutĂ©, et la situation commence lentement Ă  s'apaiser, mais il faudra attendre 1796 pour que la guerre cesse. Que s'est-il rĂ©ellement passĂ© durant ces trois annĂ©es de combat ? Un tabou est-il en train de tomber ? Histoire du christianisme 9 nov 2017 1032 «PrĂ©cĂ©dente Accueil Suivante» Commentaires Voir les commentaires18 Liste des catĂ©gories Les commentaires rĂ©cents À propos de l'auteur Accueil // ", /* use title attribute as caption for image */ $. = function { var caption = this.$ var curImg = this.$ if '.textcaption.appendTothis.$ } else $''.textcaption.appendTothis.$ } else this.$ }; // make scrolling gallery fit width of parent $".gallery-scroll".width $"featherlight-gallery".width - 4 ; $ window .bind"resize", function{ if typeof $ !== 'function' { j".gallery-scroll".width j"featherlight-gallery".width - 4 ; } else { $".gallery-scroll".width $"featherlight-gallery".width - 4 ; } };
LOmbre d’un doute. Le mystĂšre Louis XVII. Emission du lundi 3 novembre 2014 Ă  20h45 sur France 3, prĂ©sentĂ©e par Franck Ferrand. 21 janvier 1793. Sur la place de la RĂ©volution, Ă  Paris, Louis XVI est guillotinĂ©. Neuf mois plus tard, Marie-Antoinette est dĂ©capitĂ©e Ă  son tour. L'hĂ©ritier du trĂŽne, Louis XVII, reste Ă©crouĂ© dans la prison du Temple.
L'Ombre d'un doute Genre Documentaire historique PrĂ©sentation Franck Ferrand Pays France Langue Français Nombre de saisons 4 Nombre d’émissions 46 Programme similaire Secrets d'histoire Production DurĂ©e 70 minutes Format d’image 16/9e Format audio StĂ©rĂ©o SociĂ©tĂ© de production IO Production Martange Production Diffusion Diffusion France 3 Lieu de premiĂšre diffusion France Date de premiĂšre diffusion 28 septembre 2011 Date de derniĂšre diffusion 1er juin 2015 Public conseillĂ© Tout public Site web L'Ombre d'un doute est un magazine prĂ©sentĂ© par Franck Ferrand sur France 3 de 2011 Ă  2015. DiffusĂ©e pour la premiĂšre fois le 28 septembre 2011, l'Ă©mission depuis la rentrĂ©e 2014 devient bimestrielle et passe dans le cadre des Lundi en histoires d'abord en deuxiĂšme partie de soirĂ©e le mercredi et puis en premiĂšre partie le lundi avant d'ĂȘtre Ă©galement diffusĂ©e le mercredi en premiĂšre partie. Le programme s'arrĂȘte avec l'Ă©mission du 1er juin 2015[1]. Il est remplacĂ© en 2016 par L'Heure H, sĂ©rie de documentaires historiques. En 2020, l'Ă©mission est rediffusĂ©e sur la chaĂźne RMC Story[2],[3]. GĂ©nĂ©rique Le gĂ©nĂ©rique de l'Ă©mission[4] fait se succĂ©der en fondu diffĂ©rents personnages historiques Élisabeth II jeune, NapolĂ©on Ier, NĂ©fertiti buste, Hanna Schygulla dans le rĂŽle de Lale Andersen interprĂ©tant Lili Marleen devant un drapeau nazi, Louis XIV portrait de Hyacinthe Rigaud, Jeanne d’Arc et Élisabeth de Wittelsbach portrait de Franz Xaver Winterhalter. AprĂšs les deux premiers Ă©pisodes, le logo de l'Ă©mission change, avec Ă  la suite du logo Ă  chaque fois le titre du sujet de l’émission[rĂ©f. souhaitĂ©e]. La musique des 5 premiers Ă©pisodes est de Marc Braudel, puis elle change Ă  partir du sixiĂšme volet au profit d'une musique de French Men Club[rĂ©f. souhaitĂ©e]. Lieu de tournage L'Ă©mission est tournĂ©e dans les Grands dĂ©pĂŽts des Archives nationales dans le quartier du Marais, Ă  Paris. Un dĂ©bat en seconde partie À la fin de l'Ă©mission, Franck Ferrand revient en deuxiĂšme partie avec ClĂ©mentine Portier-Kaltenbach sur les Ă©lĂ©ments importants du film, en compagnie d'un ou deux spĂ©cialistes prĂ©sents dans le sujet. À partir du sixiĂšme volet de l'Ă©mission, consacrĂ© Ă  JĂ©sus, cette seconde partie Ă©volue avec Christophe Bourseiller, StĂ©phanie Coudurier et ClĂ©mentine Portier-Kaltenbach en une discussion souvent contradictoire des thĂšses abordĂ©es dans le sujet autour de livres que dĂ©fendent chacun des chroniqueurs. Avec le passage en premiĂšre partie de soirĂ©e de l'Ă©mission, cette partie de dĂ©bat est supprimĂ©e. Audience et programmation DiffusĂ©e pour la premiĂšre fois le 28 septembre 2011, l'Ă©mission connaĂźt un beau succĂšs en deuxiĂšme partie de soirĂ©e avec prĂšs de 0,8 millions de tĂ©lĂ©spectateurs, soit une part de marchĂ© de 7 %. Par la suite, le magazine oscille entre 8 et 12 % de part de marchĂ© selon les sujets[5]. ProgrammĂ© exceptionnellement en premiĂšre partie de soirĂ©e, le numĂ©ro sur le palais de l’ÉlysĂ©e du 16 mai 2012, avec 3,3 millions de tĂ©lĂ©spectateurs et 14,1 % de part de marchĂ©, connaĂźt son record d'audience Ă  ce jour[6]. À partir du 25 mars 2013, l'Ă©mission passe en premiĂšre partie de soirĂ©e, recueillant en moyenne 2,4 millions de tĂ©lĂ©spectateurs pour 10 % de part de marchĂ©[rĂ©f. souhaitĂ©e]. Liste des Ă©missions 2011-2012 Rang PremiĂšre diffusion Titre Audience en millions et PDM[rĂ©f. nĂ©cessaire] 1 28 septembre 2011 L’affaire des poisons les secrets de Louis XIV. 0,8 / 7 % 2 12 octobre 2011 Jack l'Éventreur dĂ©masquĂ©. 0,6 / 6,5 % 3 2 novembre 2011 Le vol des Joyaux. 4 16 novembre 2011 Clemenceau contre la paix. 5,4 % 5 7 dĂ©cembre 2011 Jeanne d’Arc, femme providentielle. 6 21 dĂ©cembre 2011 Qui Ă©tait JĂ©sus ? 7 18 janvier 2012 NapolĂ©on l’énigme du tombeau. 0,6 / 9 % 8 1er fĂ©vrier 2012 Mayerling suicide ou assassinat ? 9 15 fĂ©vrier 2012 Les possĂ©dĂ©es de Loudun une manipulation de Richelieu ? 10 7 mars 2012 Robespierre, bourreau de la VendĂ©e ? 8 % 11 4 avril 2012 Le naufrage du Titanic destins brisĂ©s 0,81 / 9,8 % 12 18 avril 2012 Lili Marleen, hymne nazi ou chant de la libertĂ© ? 13 9 mai 2012 Les secrets de la mort de Raspoutine. 14 16 mai 2012 L'ÉlysĂ©e, le palais des secrets. 3,3 / 14,1 % 15 23 mai 2012 Les Templiers victimes d'un roi maudit ? 16 4 juillet 2012 Mata Hari, une coupable idĂ©ale ? 17 11 juillet 2012 Que fĂȘte-t-on le 14 Juillet ? 0,8 / 7 % 18 18 juillet 2012 LĂ©onard de Vinci, l'homme du mystĂšre. 0,8 / 8,5 % 19 25 juillet 2012 Le Chevalier d'Eon, un agent trop secret ? 2012-2013 Rang PremiĂšre diffusion Titre Audience en millions et PDM[rĂ©f. nĂ©cessaire] 20 12 septembre 2012 Fallait-il condamner Marie-Antoinette ? 0,53 / 5,5 % 21 3 octobre 2012 NapolĂ©on Ă©tait-il franc-maçon ? 22 10 octobre 2012 Henri IV victime d'un complot ? 23 31 octobre 2012 Nostradamus la vĂ©ritĂ© sur ses prophĂ©ties. 0,9 / 8,8 % 24 7 novembre 2012 Zola a-t-il Ă©tĂ© assassinĂ© ? 25 12 dĂ©cembre 2012 La Peste de 1720 a-t-on sacrifiĂ© Marseille ? 26 9 janvier 2013 MoliĂšre est-il l'auteur de ses piĂšces ? 0,7 / 7,6 % 27 30 janvier 2013 Les Romanov, enquĂȘte sur la mort du tsar et de sa famille. 28 6 fĂ©vrier 2013 Édouard VIII, agent des Nazis ? 0,9 / 9,8 % 29 13 mars 2013 Stalingrad les hĂ©roĂŻnes de l'ArmĂ©e rouge. 30 25 mars 2013 Le Louvre, palais du pouvoir. 2,9 / 10,8 % 31 27 mai 2013 Venise, la citĂ© des mystĂšres. 2,07 / 8,3 % 2013-2014 Rang PremiĂšre diffusion Titre Audience en millions et PDM[rĂ©f. nĂ©cessaire] 32 2 octobre 2013 Bordeaux, histoires de chĂąteaux. 2,4 / 10 % 33 27 novembre 2013 Fontainebleau, la demeure des rois. 2,7 / 10 % 34 8 janvier 2014 Florence, la magnifique. 2,63 / 10,5 % 35 19 mars 2014 Versailles, théùtre de l'Histoire. 2,19 / 9,2 % 36 30 avril 2014 Vienne, ombres et lumiĂšres. 2,16 / 8,9 % 37 11 juin 2014 Val de Loire, des chĂąteaux et des dames. 2,5 / 11,1 % 2014-2015 Rang PremiĂšre diffusion Titre Audience en millions et PDM[rĂ©f. nĂ©cessaire] 38 6 octobre 2014 NapolĂ©on, le dĂ©fi de trop ? 1,9 / 7,8 % 39 3 novembre 2014 L'enfant de Marie-Antoinette est-il mort Ă  la prison du Temple ? 2,4 / 9,4 % 40 1er dĂ©cembre 2014 Paris, 1940-1944 des artistes trĂšs occupĂ©s ? 2,8 / 11 % 41 5 janvier 2015 Louis XV, l'homme qui aimait trop les femmes. 1,9 / 7,6 % 42 9 fĂ©vrier 2015 Petiot le docteur Satan de l'Occupation. 1,83 / 7 % 43 9 mars 2015 Qui Ă©tait vraiment François Ier ? 2,03 / 7,9 % 44 6 avril 2015 La Via Dolorosa Ă  derniers jours de JĂ©sus. 2,2 / 8,3 % 45 4 mai 2015 Le dossier secret de l'affaire Dreyfus. 1,7 / 6,8 % 46 1er juin 2015 Guerre des dames Ă  la cour du Roi-Soleil 1,78 / 7,3 % Critiques L'Ă©mission est critiquĂ©e par des historiens pour une vision considĂ©rĂ©e comme caricaturale. D'aprĂšs l'historien Guillaume Mazeau L'Ombre d'un doute donne aux spectateurs l'image que l’histoire est faite par les puissants » . Selon l'historien Christophe Naudin, l'un des auteurs de l'ouvrage Les historiens de garde, l'Ă©mission dĂ©fend une thĂšse sans laisser suffisamment la place Ă  la contradiction[7]. L'Ă©pisode consacrĂ© Ă  la guerre de VendĂ©e est particuliĂšrement remis en question par des historiens[7]. Pour LibĂ©ration, ce documentaire accrĂ©dite la vieille thĂ©orie d’extrĂȘme droite d’un gĂ©nocide vendĂ©en» par la RĂ©publique »[8]. Cependant, en novembre 2013, Le Figaro notait Pertinent, Franck Ferrand vulgarise l'histoire sans la dĂ©naturer, en s'installant chaque mois dans un lieu emblĂ©matique. Ses intervenants, souvent des historiens, sont variĂ©s, et les prises de vue aĂ©riennes, magnifiques. Un conseil toutefois dĂ©velopper l'aspect enquĂȘte, qui Ă©tait plus prĂ©sent dans l'ancienne version de l'Ă©mission »[9]. Notes et rĂ©fĂ©rences ↑ Sarah Lecoeuvre, L'ombre d'un doute l'Ă©mission de Franck Ferrand sur France 3 s'arrĂȘte », sur 21 mai 2015 consultĂ© le 1er juin 2015. ↑ Carine Didier, RMC Story offre une deuxiĂšme vie aux pĂ©pites de France TĂ©lĂ©visions », sur 23 fĂ©vrier 2020 consultĂ© le 28 mars 2020. ↑ Kevin Boucher, Audiences "AstĂ©rix" leader sur M6 devant "Prodigal Son", "Plus belle la vie" en baisse, Canal+ et NRJ 12 en forme », sur 25 mars 2020 consultĂ© le 28 mars 2020. ↑ Lien vers le gĂ©nĂ©rique de l'Ă©mission ↑ [1] ↑ [2] ↑ a et b L'histoire racontĂ©e par les mĂ©dias un entretien croisĂ© », sur Acrimed Action Critique MĂ©dias consultĂ© le 15 dĂ©cembre 2019 ↑ Franck Ferrand, l’histoire en cotte de maillots », sur 30 juin 2017 consultĂ© le 15 dĂ©cembre 2019 ↑ Blaise de Chabalier, Muriel Frat et Constance Jamet, Histoire les vainqueurs et les vaincus », in Le Figaro, encart Culture », jeudi 21 novembre 2013, page 39. Voir aussi Lien externe fr Site officiel de L'Ombre d'un doute
LeConseil a Ă©tĂ© saisi par MM. Jean-Luc MĂ©lenchon et Alexis CorbiĂšre, respectivement co-prĂ©sident et secrĂ©taire national du Parti de Gauche, ainsi que par un tĂ©lĂ©spectateur, Ă  la suite de la diffusion du documentaire « Robespierre, bourreau de la VendĂ©e ? » sur France 3 le 23 janvier 2013 dans l’émission L’Ombre d’un doute.

ï»żCet excellent reportage se dĂ©compose en deux parties le rĂ©cit et le dĂ©bat. Franck Ferrand et ses interlocuteurs n’ont pas peur de briser le tabou en prononçant le terme de GĂ©nocide. L’émission qui s’intitule Robespierre Bourreau de la VendĂ©e ? » aurait pu tout simplement s’appeler contre enquĂȘte sur les massacres de VendĂ©e ». La rĂ©pression dĂ©cidĂ©e par le comitĂ© de salut public, qui Ă  l’époque est au main de Robespierre, cette rĂ©pression va ĂȘtre terrible. Durant des mois, ces vieilles terres de tradition catholique et royale sont le théùtre de massacres d’une ampleur inouĂŻe des soldats de la RĂ©publique y pratiquent l’extermination organisĂ©e. Hommes, femmes, enfants sont supprimĂ©s en masse et leur corps jetĂ©s dans des charniers. Si on parle de gĂ©nocide, c’est une tache sur l’histoire de la RĂ©volution française et comme vous savez, en France, on ne peut pas toucher Ă  la RĂ©volution Française, c’est sacrĂ©. Le ton est donné 

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l ombre d un doute robespierre