ReplayTV Qui veut être mon associé ? Emission 4 Diffusé le 26 janvier, 2022 à 21:10 Durée 105 min. Autre. Cinq passionnés présentent leur projet aux experts de l'entreprenariat. Ils
Ils viennent de la France entière et ont des parcours et des âges différents. Ils ont tous eu une idée qui va peut-être changer le quotidien des Français mais il leur manque des éléments cruciaux de l'accompagnement, des conseils et du financement. Eux aussi ont eu un jour une bonne idée et ont eu besoin d’aide et s’en souviennent. Aujourd’hui, ils veulent transmettre leur expérience et miser sur des projets ou des idées. Eux ce sont les investisseurs... Cette année, on retrouve Delphine André, Marc Simoncini, Eric Larchevêque ainsi que 4 nouveaux Anthony Bourbon, Sophie Mechaly, Jean-Pierre Nadir et Isabelle Weill. Xavier Domergue, lui, succède à Julien Courbet pour coacher, encourager et motiver les entrepreneurs avant leur passage devant les investisseurs et recueillir leurs premières impressions après leurs présentations.
Le5 e épisode de « Qui veut être mon associé » est diffusé sur M6.Nous pourrons retrouver des candidats plus motivés que jamais à défendre le projet de leur vie ce mercredi 2 février en prime sur M6 à 21h10.Tous les mercredis, vous pourrez retrouver votre programme en prime sur M6 ou en replay.. Au programme, des chefs d'entreprise prêts a invertir leur
Deux ans après une première saison de Qui veut être mon associé ?, suivie en moyenne par million de personnes, M6 mise à nouveau sur ce concept offrant quelques minutes à des entrepreneurs pour convaincre un panel d’investisseurs de mettre la main au porte-monnaie, en échange d’une part dans leur deuxième édition est lancée mercredi à 21h05, avec Xavier Domergue en remplacement de Julien Courbet à la présentation. Si de nouvelles têtes arrivent aussi côté investisseurs, Delphine André, Eric Larchevêque et Marc Simoncini font partie de ceux qui rempilent. On a demandé à la production qu’il y ait davantage d’interactions entre nous, indique le dernier cité, créateur de la start-up Angell, spécialisée dans les vélos connectés. Dans la première saison, toutes les questions arrivaient sur les entrepreneurs, on parlait parfois en même temps, ça les mettait mal à l’aise et c’était un peu rigide. Là , on était d’accord pour dire que plus on allait se parler [entre investisseurs potentiels], plus ce serait vivant, sympathique, drôle, en tout cas plus dynamique. »J’ai mis le double des euros que j’avais prévus à l’origine » On a créé une émulation de nature à favoriser les deals. Quand le jury lui-même est agile, ouvert et a envie d’aller de l’avant, ça favorise l’empathie avec les candidats », note Jean-Pierre Nadir, l’un des nouveaux investisseurs, qui a rapidement trouvé ses marques dans le programme. Je m’étais fixé un budget que j’ai dépassé. Quand tu es pris dans la dynamique de l’émission, lorsqu’il y a des opérations intéressantes, tu te laisses entraîner, confie celui qui a lancé le portail de tourisme responsable Au final, j’ai mis le double des euros que j’avais prévus à l’origine. » L’homme d’affaires, qui est le seul à évoquer explicitement les montants, a donc investi un million d’euros - de son argent personnel - parmi les trente-cinq cas de cette deuxième saison. On reproche beaucoup à la télévision d’abrutir les masses, là , elle permet aux gens de concrétiser un rêve. Cela rend les choses accessibles, mais il faut bien faire comprendre que ça ne se fait pas non plus d’un claquement de doigts. Ce n’est pas "J’arrive, je pitche et c’est bon, j’ai réussi" », prévient Delphine André, PDG du groupe de transports et logistique GCA. Plusieurs entrepreneurs repartent donc comme ils sont venus, sans avoir fait affaire. Même si on est bienveillants, on n’est pas là pour faire croire à des deals impossibles. Le business est un milieu de requins », appuie Anthony Bourbon, fondateur de Feed et nouvelle recrue de Qui veut être mon associé ?Le trentenaire a rejoint l’émission pour représenter des jeunes qu’on ne voit pas assez », autrement dit des profils similaires au sien, qui ne sont pas passés par une grande école, ne peuvent pas compter sur un coup de pouce familial et n’ont pas de véritable réseau. C’est une occasion de tendre la main et de dire malgré les cartes qu’on t’a donné, même si tu es défavorisé, que tu n’as pas beaucoup d’argent, que tu n’as pas fait d’études, tu peux t’en sortir », profils différents et hors réseaux Pour nous, Qui veut être mon associé ? c’est l’opportunité de voir des dossiers qu’on n’aurait pas pu voir autrement car il est vrai qu’en dehors de l’émission, quand on regarde un dossier, c’est mieux s’il est appuyé et recommandé, parce qu’on en reçoit tellement… Le réseau joue un rôle important. Là , nous sommes attentifs de la même manière sur tous les projets », explique Eric Larchevêque, le créateur de Ledger. Marc Simoncini souligne que ce programme de M6 l’a ramené aux sources » Comme je travaille maintenant dans un fonds d’investissement où on voit des dossiers plus lourds et structurés, j’ai perdu de vue toute cette population de primo-entrepreneurs. Donc j’ai pu renouer ce lien-là . » Et pour ces profils de néo-chefs d’entreprises, Qui veut être mon associé ? a une importance considérable notamment dans un contexte de pandémie. Le tournage s’est déroulé en mai 2021, alors que l’activité économique était encore success stories Le Covid a été une phase compliquée pour les start-up. Les investissements ont chuté de 80 % en ce qui concerne les early stage, les premiers deals », avance Anthony Bourbon. Le gouvernement a beaucoup aidé les entreprises. Le "quoi qu’il en coûte" a sauvé l’industrie française. Je suis dans le tourisme et 95 % des acteurs du secteur ont été financés entre le PGE [prêt garanti par l’Etat] et le chômage partiel par rapport à leur chiffre d’affaires 2019, poursuit Jean-Pierre Nadir. Mais ceux qui se sont lancés en 2020 n’ont reçu strictement aucune aide. C’est donc beaucoup plus compliqué de créer une boîte dans des périodes difficiles parce que vous n’avez aucun soutien. Les banques ont déjà les PGE à financer, elles sont inquiètes quant aux perspectives et ça devient plus compliqué de donner de l’argent. D’où le fait que les entrepreneurs que nous sommes sont plus agiles pour investir que des institutions plus classiques. »Anthony Bourbon laisse déjà entrevoir une success story particulièrement éclatante Certaines boîtes, pour lesquelles j’ai participé, ont aujourd’hui leurs produits vendus chez Monoprix ou Franprix. Il y en a qui ont déjà fait des levées de fonds. L’une d’elles va devenir la première licorne de M6, elle vaut plus d’un milliard d’euros. Cela montre la puissance et la possibilité hors norme que cela peut générer. »
Lanouvelle saison de « Qui veut être mon asscocié » reprend sur M6.Nous pourrons retrouver des candidats plus motivé que jamais à défendres le projet de leur vie ce mercredi 12 janvier en prime sur M6 à 21h05.Tous les mercredi, vous pourrez retrouver votre programme en prime sur M6 ou en replay.. Au programme, des chefs d'entreprise prêts a
Six investisseurs, emblématiques du dynamisme et de la créativité française, ont choisi de donner leur chance à de nouveaux talents. Eux aussi ont eu un jour une bonne idée et ont eu besoin d'aide pour la développer avec Veut Être Mon Associé ? a été diffusé sur M6 le mercredi 12 février 2020, 00H19. Comment évaluez-vous cet emission?Épisode 5Facturons votre émission... Qui Veut Être Mon Associé ? Qui Veut Être Mon Associé ? est une programme sur la télévision française de M6 qui avait reçu une moyenne de 4,4 étoiles par les visiteurs d' En ce moment, nous possédons 10 émissions dans nos archives, dont la première a été diffusée en février 2022. Vous avez manqué une émission de Qui Veut Être Mon Associé ? et vous souhaitez éviter cela à l'avenir? Ajoutez Qui Veut Être Mon Associé ? à vos favoris et programmez une alarme. Ainsi, nous pouvons vous informer gratuitement par e-mail de nouvelles émissions. Pratique! Note4,4 sur 5Nombre total d'émissions10Dernière émission03-02-2022 à 00H24heures Qui Veut Être Mon Associé ? en replay Ajouter aux favoris Régler alarme
Dansdes économies devenues "bottom-up", les inégalités territoriales sont devenues "un sujet micro-géographique", veut croire le directeur général de la Scet, Romain Lucazeau, qui identifie le rôle névralgique de ce qu'il nomme "la chefferie de projet" pour accompagner l'investissement dans les territoires. Proposant notamment que l'on envoie quelques
Politique Toto Morand devient conseiller communal à Epalinges au sein des Vert'libéraux archives. © KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT Share Tweet Guillaume "Toto" Morand passe chez les Vert'libéraux. Le trublion de la politique vaudoise rejoint les rangs du parti pour devenir conseiller communal à Epalinges, au-dessus de Lausanne. Une place s'étant libérée chez les Vert'libéraux à la suite d'un déménagement, leur président Félix Schmidt a demandé à Toto Morand s'il souhaitait les rejoindre. "J'ai réfléchi et je me suis dit qu'on pourrait faire quelque chose ensemble au niveau communal, vu l'engagement des Vert'libéraux en matière d'urbanisme", explique-t-il vendredi dans une interview accordée à 24 heures. L'entrepreneur, patron d'un magasin de chaussures, dit notamment vouloir faire barrage à la Municipalité d'Epalinges qui, selon lui, souhaite "bétonner ce qu'il reste d'espaces verts". Une première Toto Morand s'est porté quatre fois candidat pour une élection au Conseil d'Etat vaudois sous sa propre étiquette du "Parti de rien". C'est la première fois qu'il s'associe à un véritable parti. "D'habitude, on me demande de retirer ma candidature, plutôt que de participer", ironise-t-il. Toto Morand précise qu'il s'agit bien, pour le moment du moins, d'un engagement communal. "Je ne vais pas commencer à la ramener en tant que Vert'libéral vaudois ou suisse. Je reste indépendant". Outre ses quatre candidatures au Conseil d'Etat, Toto Morand s'est fait connaître pour différents combats, notamment la sauvegarde de la forêt du Flon à Lausanne. Il a aussi plusieurs fois défrayé la chronique pour des actions contre l'UDC, comme lorsqu'il avait installé un faux minaret à Bussigny en 2009, en réaction à la votation fédérale contre la construction des minarets. Cet article a été publié automatiquement. Source ats Politique Recul de la satisfaction vis-à -vis du travail du gouvernement Publié Il y a 3 heuresle 29 août 2022 A un an des élections fédérales, la cote d'amour du Conseil fédéral n'est pas au beau fixe archives. © KEYSTONE/ENNIO LEANZA A la mi-août, seul un Suisse sur deux était satisfait ou plutôt satisfait du travail du Conseil fédéral, selon un sondage publié lundi par Tamedia et 20 Minuten. C'est 15 points de moins qu'à la fin 2021 65%. La popularité des membres du collège s'effrite également. Le ministre de la santé Alain Berset reste le mieux noté, avec une moyenne de 4,1 sur 6, contre 4,33 lors du précédent sondage. Il est talonné par Karin Keller-Sutter 4,05 et Viola Amherd 4,02, qui restent relativement stables. Les conseillers fédéraux en charge du dossier de l'énergie perdent des plumes Guy Parmelin voit sa note passer de 4,14 à 3,84, alors que celle de Simonetta Sommaruga chute de 4,00 à 3,66. La Bernoise est désormais devancée par Ueli Maurer 3,81. Quant à Ignazio Cassis, sa popularité ne profite pas de son année présidentielle. Il reste lanterne rouge de ce classement, avec une moyenne de 3,5. Une formule pas si magique La population est très divisée sur la future composition du Conseil fédéral. Seuls 18% souhaitent continuer avec l'actuelle formule magique 2 UDC, 2 PS, 2 PLR, 1 Centre. Mais aucune autre proposition ne recueille plus d'avis favorables. Une formule à six partis 2UDC, 1 PS, 1 PLR, 1 Centre, 1 Vert, 1 Vert'libéral est soutenue par 17% des Suisses. Il en va de même pour la variante qui verrait le PS céder un siège au PVL, alors que 16% souhaiteraient que le PLR abandonne un marroquin au profit des Verts. Le désamour touche aussi le Parlement. A la mi-août, seulement 46% de la population était satisfaite ou plutôt satisfaite du travail des Chambres fédérales, contre 56% à la fin décembre. Le sondage représentatif a été réalisé en ligne les 15 et 16 août par l'institut LeeWas en collaboration avec 20 Minuten et Tamedia. 26’298 personnes de toute la Suisse y ont pris part, dont 3846 Romands. La marge d'erreur est de +/- 1,1 point de pourcentage. Cet article a été publié automatiquement. Source ats Actualité Fribourg la loi sur les agglomérations est maintenue Publié Il y a 5 joursle 24 août 2022 La ville de Fribourg et ses communes environnantes ont été au centre des débats mercredi devant le Tribunal fédéral archives. © KEYSTONE/LAURENT GILLIERON La nouvelle loi fribourgeoise sur les agglomérations reste en vigueur. Le Tribunal fédéral rejette la demande d'annulation de six communes. Elles estimaient qu'elles auraient dû être consultées après les modifications fondamentales apportées par le Grand Conseil. Réunie en audience publique mercredi, la 1ère Cour de droit public a renoncé, à une majorité de trois juges contre deux, à annuler la loi sur les agglomérations LAgg. Les six communes recourantes, membres de l'Agglomération de Fribourg, se plaignaient de n'avoir pas été consultées après les modifications apportées par le Grand Conseil au projet du Conseil d'Etat. La commission du Parlement avait décidé en effet de revoir fondamentalement la forme juridique des associations de communes. "Il aurait été certainement souhaitable que les communes concernées soient entendues par la commission", a reconnu le juge rapporteur. En l'espèce, les autorités fribourgeoises, soucieuses de faire avancer l'objet, s'en sont tenues à une interprétation formaliste du droit qui ne reconnaît pas aux parties intéressées un droit à être consultées durant la procédure parlementaire. Limites du droit d'être entendu Fondamentalement, le droit d'être entendu revendiqué par les recourantes appartient aux personnes dans les procédures administratives et judiciaires, a rappelé une autre magistrate. Il peut être accordé à titre exceptionnel à des personnes particulièrement concernées dans la procédure législative. La jurisprudence mentionne des propriétaires, par exemple. Les deux juges minoritaires ont défendu l'opinion selon laquelle cette jurisprudence pouvait s'appliquer aux communes. "Il suffit de remplacer le terme de 'propriétaires' par celui de 'communes'", a souligné l'un d'eux. La majorité a estimé au contraire que l'on allait s'engager sur une voie dangereuse. "Si le droit d'être entendu peut être revendiqué devant un parlement, on va se heurter à une foule de difficultés pratiques, a indiqué une juge. Qui pourra l'exiger? A partir de quelle modification du projet? Sera-t-il accompagné d'autres garanties, tels l'accès au dossier ou le droit à une décision motivée?" "Judiciarisation" "On va s'engager dans une judiciarisation du processus parlementaire", a résumé le rapporteur. Le Tribunal fédéral ne doit pas introduire une jurisprudence qui permettrait d'attaquer toutes les étapes du processus parlementaire. Ce magistrat a rappelé aussi que la LAgg a réuni des majorités toujours plus marquées au fil du débat parlementaire. Au final, elle a été approuvée par 75 voix contre 5 et 9 abstentions. En outre, les communes recourantes n'ont pas lancé de référendum. Annuler ce texte aboutirait simplement à répéter le même processus, avec le même résultat. Entrée en vigueur le 1er janvier 2021, la LAgg prévoit en substance que les agglomérations ne sont plus des organisations indépendantes corporations de droit public mais des associations de communes. Ce changement de forme juridique n'était pas prévu par le Conseil d'Etat dans son projet. Nouvelles exigences fédérales Lors de l'examen préalable, la commission compétente s'est largement écartée de la forme en vigueur. Le projet de loi a été modifié en conséquence, sans que les principales intéressées, soit les dix communes de l'Agglomération de Fribourg ne soient consultées, en dépit de leurs réitérées demandes. La commission et le Grand Conseil ont justifié ce changement par la nécessité de se conformer à la législation fédérale sur l'aide aux projets d'agglomération. La forme de l'association autorise des collaborations à géométrie variable, en fonction des thèmes, ou intercantonales. arrêt 1C_636/2020 du 24 août 2022 Cet article a été publié automatiquement. Source ats Economie Une pétition pour faciliter le 30 km/h dans le canton de Vaud Publié Il y a 6 joursle 23 août 2022 La pétition pour réclamer des conditions moins strictes pour instaurer le 30 km/h a été déposée mardi après-midi à Lausanne. © KEYSTONE/LAURENT GILLIERON Une pétition a été déposée mardi en faveur d'une plus grande généralisation du 30 km/h sur les routes vaudoises. Munie de 1635 signatures, elle demande que les communes puissent plus facilement limiter la vitesse sur leurs tronçons routiers. Les communes peuvent se sentir "découragées" en raison "des critères stricts" imposés par le canton, remarque David Raedler, président de l'ATE Vaud, qui a porté cette pétition avec le Groupement pour le 30 km/h. Le député des Verts cite des "procédures longues et coûteuses", mais aussi différentes conditions à remplir, par exemple en terme de densité de population requise. Contacté par Keystone-ATS, David Raedler explique ainsi que certains secteurs, bien que bruyants, ne peuvent pas passer en zone 30 km/h, car ils ne sont pas suffisamment peuplés. Il souligne également qu'il n'est pas possible de réduire la vitesse sur des routes considérées comme des axes prioritaires par le canton. Des axes qui, pourtant, auraient tout à gagner en passant à 30 km/h en matière de nuisances sonores et de sécurité, mais aussi de fluidité du trafic, affirme-t-il, prenant en exemple l'avenue de Ruchonet à Lausanne. Appuyer l'action politique La pétition a été remise mardi après-midi devant le Parlement vaudois. Ce dépôt a été accompagné par une "action sonore", un haut-parleur diffusant le bruit engendré par des véhicules à 50 km/h puis à 30 km/h. Parallèlement, la pétition a aussi été déposée au Conseil communal de Lausanne. Les signataires demandent en effet à la capitale vaudoise, précurseuse en la matière 30 km/h de nuit, multiplication des zones 30, d'en faire encore plus. Et notamment en généralisant le 30 km/h, de jour comme de nuit. Selon David Raedler, la récolte de signatures, démarrée fin avril, a rapidement rencontré du succès. Lancée pour répondre à des demandes de citoyens et d'élus communaux, cette pétition va permettre "d'appuyer" l'action politique des partisans du 30 km/h, estime-t-il. Autre pétition Du côté des opposants, une pétition munie de 840 signatures avait été déposée en janvier dernier pour demander aux autorités politiques de réintroduire le 50 km/h de nuit à Lausanne, hormis dans les quartiers résidentiels. Pour les instigateurs de cette pétition, le 30 km/h n'a que peu d'impact sur le bruit dans une ville qui tourne désormais "au ralenti". Cette pétition n'a pas encore été abordée en plénum par le Grand Conseil. La commission des pétitions a toutefois déjà proposé de la classer par neuf voix contre une, annonçait fin juillet un article de 24 heures. Pour mémoire, Lausanne a été la première ville de Suisse à instaurer le 30 km/h de nuit en septembre 2021. Ailleurs dans le canton, Vevey a déjà annoncé qu'elle allait suivre cet automne. Plusieurs autres communes y songent, à l'instar de Cossonay ou Montreux. Cet article a été publié automatiquement. Source ats Politique L'Alliance vaudoise passe à l'action Publié Il y a 6 joursle 23 août 2022 Marc-Olivier Buffat, président du PLR Vaud, a présenté mardi avec ses homologues Kevin Grangier UDC et Emilio Lado Centre les premiers effets de l'Alliance vaudoise archives. © KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT Victorieuse en avril des élections cantonales, l'Alliance vaudoise veut passer "de la parole aux actes". Ses trois partis - PLR, UDC et Centre - ont présenté mardi leur premier objet parlementaire commun, une résolution consistant à instaurer une task force vaudoise en matière d'énergie. Ce texte, déposé mardi après-midi et qui devrait être débattu début septembre par le Grand Conseil, demande au Conseil d'Etat de "dresser un inventaire" des ressources énergétiques disponibles, a annoncé Marc-Olivier Buffat, président du PLR Vaud, lors d'un point presse devant le Parlement vaudois. L'objectif vise à "mobiliser" toutes les solutions liées aux énergies renouvelables, à "mettre le turbo" sur certains projets comme pour le barrage Bex-Massongex, mais aussi à mener "une indispensable réflexion" sur l'exploitation du gaz naturel dans le sous-sol vaudois, a-t-il ajouté. Une telle exploitation est interdite depuis 2018 dans le canton. Pourtant, ces dernières semaines, l'idée de relancer le projet d'extraction de gaz naturel sur le site de Noville est réapparue. "Par rapport à 2018, la situation géopolitique a bien changé. Mieux vaut le gaz de Noville que le gaz de Poutine", a remarqué Marc-OIivier Buffat. Ce gaz vaudois constitue "une énergie de transition que l'on se prive d'exploiter", a renchéri Kevin Grangier, président de l'UDC Vaud. Collaboration pour les fédérales Outre l'annonce de cette résolution, les présidents du PLR et de l'UDC, accompagnés de leur homologue du Centre Emilio Lado, ont indiqué qu'un comité de l'Alliance du centre avait été instauré. Ils y siégeront tous les trois et organiseront régulièrement des rencontres avec leurs conseillers d'Etat et leurs groupes au Grand Conseil. "Nous voulons continuer de dialoguer et, partout où cela est possible, lancer des actions et campagnes communes", a expliqué Kevin Grangier. "Les élections cantonales ont montré que la population souhaitait une stratégie commune, des solutions de compromis. Chaque parti va conserver sa ligne, mais nous ne resterons pas butés sur nos positions", a affirmé Emilio Lado. Dans le même ordre d'idée, les conseillers d'Etat élus via l'Alliance vaudoise - Christelle Luisier, Isabelle Moret, Frédéric Borloz tous PLR et Valérie Dittli Centre - seront invités selon un tournus à participer aux séances du groupe UDC. L'occasion pour le parti agrarien d'avoir à nouveau accès à un ministre, ce qui ne lui est plus arrivé depuis 11 ans et le décès de Jean-Claude Mermoud. Une collaboration est aussi envisagée pour les élections fédérales de 2023. Les trois partis chercheront à s'apparenter pour le Conseil national et à s'allier pour le Conseil des Etats. "Des discussions sont en cours, mais nous n'allons rien précipiter", a remarqué Marc-Olivier Buffat. Cet article a été publié automatiquement. Source ats Economie Coupures d'électricité le PLR interpelle à nouveau le gouvernement Publié Il y a 6 joursle 23 août 2022 Des députés PLR vaudois attendent des réponses claires du gouvernement sur le risque de pénurie énergétique et surtout d'électricité photo symbolique. © Keystone/DOMINIC FAVRE Le groupe PLR au Grand Conseil vaudois, par la voix du président du parti Marc-Olivier Buffat, s'inquiète toujours d'un éventuel risque de blackout cet hiver en raison de la crise ukrainienne. Dans une interpellation déposée mardi, il questionne à nouveau le gouvernement sur sa stratégie en cas de rationnement possible d'électricité, voire de coupures sectorielles ou temporelles. "Avec la guerre en Ukraine notamment et la ferme volonté de nos voisins européens de se libérer du pétrole, du charbon et du gaz politique qui va de pair avec la décarbonisation de la société, le risque de pénurie énergétique, mais surtout d'électricité, s'est encore démultiplié ces derniers mois", écrivent une vingtaine de députés PLR. Inquiets, les signataires posent la question d'un plan B car "l'impact en sera considérable pour notre économie, notre population et notre vie quotidienne". L'interpellation formule six questions urgentes. Le texte demande en premier lieu quelle est la stratégie et le dispositif prévu par le Conseil d'Etat en cas de pénurie et de coupures d'électricité. Le PLR veut aussi savoir quelles sont les mesures d'anticipation envisagées afin d'éviter ces coupures ou un rationnement. Si une situation catastrophique devait se matérialiser, comment et par quels moyens le rationnement pourrait-il être mis en ½uvre et selon quels critères, et quels seraient les personnes ou les secteurs économiques ou géographiques qui seraient potentiellement touchés, s'interrogent encore les signataires. Document présenté d'ici la fin de l'année? En réponse à deux précédentes interpellations déposées l'une par le PLR déjà et l'autre par l'UDC, le gouvernement indique avoir demandé début 2022 à différences services administratifs d'élaborer une stratégie de réduction du risque d'une rupture de la fourniture d'électricité et de son impact. Ce document doit lui être présenté pour approbation d'ici la fin de l'année, précise-t-il. Le Conseil d'Etat rappelle en outre que la situation de pénurie est gérée uniquement au niveau de la Confédération par l'intermédiaire de l'Organisation pour l'approvisionnement en électricité en cas decrise OSTRAL. Elle décrète si nécessaire des mesures pour limiter la consommation, en incitant dans un premier temps à économiser l'électricité, puis à interdire certains usages éclairage de vitrines, jacuzzis, etc. Si cela ne suffit pas, Berne peut obliger le rationnement de la consommation pour les clients consommant plus de 100'000 kWh/an d'électricité. En dernier recours, la Confédération peut décider la mise en place des plans de délestage, qui impliquent de couper à intervalles réguliers l'électricité de quartiers entiers. Dans le cadre du plan OSTRAL, elle interdit également le commerce de l'électricité et prend le contrôle des moyens de production. Cet article a été publié automatiquement. Source ats
Replay Accueil; Programme TV; Tous les programmes; Qui veut être mon associé ? La suite. Synopsis; Année de production : 2022; Genre : Divertissement ; Durée : 40 min. Synopsis . Ils avaient séduit les investisseurs et les téléspectateurs lors de la première saison avec des projets aussi différents que les masques anti-pollution, la restauration africaine, les
Ce mercredi 12 janvier 2022, Nelly Pitt fondatrice de BeautyMix passera dans la célèbre émission "Qui veut être mon associé ?" sur M6. Notre objectif ? Présenter notre projet et tenter de convaincre des investisseurs ! Découvre notre passage, les coulisses et bien d'autres... Tout sur l'émission "Qui veut être mon associé ?"“Qui veut être mon associé ?” c'est l'émission de M6 destinée à aider financièrement les projets de nouveaux créateurs d' cette émission, regardée par des millions de téléspectateurs, six investisseurs Marc Simoncini Meetic, Delphine André GCA et Éric Larchevèque Ledger, Anthony Bourbon Feed, Sophie Mechaly Paul & Joe, Jean-Pierre Nadir Easyvoyage et Isabelle Weill IWCorp, figures emblématiques du dynamisme français, donnent leur chance aux nouveaux talents. Un beau parcours pour nous connaissez à travers notre robot de cosmétique maison... Mais qui se cache réellement derrière la marque et quelle est son histoire ? BeautyMix a été fondée par Nelly Pitt, ingénieure en environnement, il y a de cela trois ans. Originaire du Nord, elle n’avait pourtant au départ rien d’une entrepreneure petite-fille de paysans, fille de techniciens des Telecom, elle a commencé sa carrière professionnelle dans des usines de traitement d’ à la naissance de sa fille en Chine que Nelly s’est tournée vers les produits faits-maison, pour savoir ce qu’elle mettait sur la peau de son bébé. Bluffée par la qualité des produits faits-maison, c’est ce qui lui a donné envie de partager cette nouvelle passion autour d’elle. A son retour en France, c’est avec son frère Mathieu qu’elle s’est associée pour en faire un projet d’ mission faire du fait-maison une alternative naturelle au tout-industriel grâce à BeautyMix, le robot malin des cosmétiques maison. Ensemble, Nelly et Mathieu veulent rendre accessible à tous un mode de consommation zéro plastique, zéro gâchis, 100% Produit de l'Année 2021, BeautyMix a déjà séduit de nombreux adeptes en France ! Pourquoi avons-nous participé à l’émission ? Nous ne cessons de prouver que notre concept donne les clés pour une consommation plus responsable et éclairée. Nous avons reçu de nombreux soutiens de grands acteurs de la cosmétique comme Sephora par le programme Sephora Accelerate, L’Oréal avec son programme BeautyTech Atelier à Station F, la Cosmetic Valley à Chartres, et Coty programme Incoplex Paris Beauty.Contrairement à beaucoup de jeunes start-ups, BeautyMix n’a jamais effectué de levée de fonds. C'est pourquoi, quand la production nous a contacté nous y avons vu la formidable opportunité de faire découvrir à encore plus d'entre vous la cosmétique "Made in chez Moi", d'obtenir des conseils d'experts sur notre projet et notre entreprise, mais aussi de récolter des investissements pour nous aider à poursuivre notre développement ! A l’issue de cette émission, nous avons pu lever 300 000€ proposé par l'investisseur Jean-Pierre Nadir. Nous avons accepté l'offre de cet investisseur car celui-ci accorde énormément d'importance à l'engagement social et environnemental de notre entreprise. Nous avons pleins de beaux projets à venir avec notre nouvel associé !
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