Nicette jeunesse, ni ses juges n'accordaient plus le moindre crédit au dire de Paul Valéry, quand la première guerre mondiale avait déjà paru secouer notre monde sur ses bases : « nous autres civilisations, nous savons maintenant que nous somme mortelles ». Cette formule trop frappée est' devenue une vieille scie. Le goût aujourd'hui n'est plus de l'invoquer bouch» bée, c'est de la
Nous autres civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». La phrase de Paul Valéry figure-t-elle au menu du jour ? À nouveau mal, mots nouveaux. Hier le rouge et le noir, aujourd’hui le rouge et le vert, deux couleurs primaires et complémentaires. Rouge danger et interdiction. Mais également rouge énergie et révolte. Vert pharmacie, espérance et
QuandValéry écrit « Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles », c’est à l’européenne qu’il pense. Il pense que la civilisation européenne occupe une situation privilégiée, qui ne va pas durer, et entretient un rapport inégal aux autres contrées. Il prend l’exemple du rapport de l’Angleterre à l’Inde
Introduction: « Nous autres civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». Cette phrase célèbre, rédigée par Paul Valéry en 1919 figure dans un essai, publié à la NFR, étant intitulé La crise de L’Esprit, qui par ailleurs sert de début de phrase à son texte philosophique Variété I. La date indiquée nous indique déjà le contexte histoire, nous sommes à un an de la
Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles. » ""Les mots de Paul Valéry après le désastre de la Grande Guerre, devraient inquiéter les
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nous autres civilisations nous savons maintenant que nous sommes mortelles